Parfois nos terrains nous ne le permettent pas (petit balcon en appartement), d'autre fois la santé nous l'empêche! Il est assez difficile de passer des heures accroupies à travailler le sol. Surtout avec des problèmes de dos, ou handicap, autant léger que lourd.
Mais savoir jardiner et avoir une quantité de nourriture, même petite, que nous faisons grandir nous même est une autre forme de résilience. Et j'aime bien la résilience.
Il ne faut pas attendre d'être dans le besoin pour commencer à y penser. À petite échelle, la responsabilité d'un jardin n'est pas trop lourde et on développe l'aptitude et le gout de jardiner.
Ayant été inspiré par "Vol West", le blogueur, j'ai décidé de commencer à jardiner, et permettre à ma copine, avec des limitations physiques, de le faire aussi.
Donc voici ce que j'ai fait l'été passé pour jardiner, un peu, sans trop souffrir!!
Ce n’est pas grand, mais c'est un bon début pour se faire la main, et lorsque je serrai un jardinier compétent, j'en ferrai un autre !
Donc voici quelques images, de ce petit jardin surélevé.
Avantages :
- Hydratation contrôlée.
- Travail debout.
- La terre reste meuble. Elle n'est pas tapée par nos pieds et par les années.
- Et les bibites restent plus loin.
Nous n'avons pas mangé grand-chose cet été-là. Mais au printemps, je réessaie avec quelques modifications à ma culture.
D
Inspiration : http://lesurvivaliste.blogspot.ca/2011/06/le-jardin-sureleve.html
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